Envie de vendre votre maison à un étranger, mais vous ne savez pas comment vous y prendre pour atteindre ce public ? Avant tout, il faut penser à traduire votre annonce ainsi qu’à la diffuser sur différentes plateformes consultées par un public international. Pour cela, il faudrait dans l’idéal avoir la capacité ou l’opportunité de pouvoir traduire votre annonce dans plusieurs langues afin de la rendre compréhensible au maximum. Afin d’atteindre le public le plus large possible sans pour autant traduire votre annonce dans des dizaines de langues, 4 langues sont à privilégier : l’anglais, le russe, le français et… l’espagnol évidemment. Il vous est conseillé de bien détailler vos annonces afin de permettre aux acquéreurs étrangers de faire leur choix à distance, étant donné qu’il n’est pas facile pour eux de se déplacer afin de visiter votre bien.
Comment on fait pour signer si je ne parle pas la langue de l’acheteur ?
Quant à la signature du compromis de vente, rien de plus simple dans la mesure où c’est le notaire qui prend le dossier en charge et s’acquittera de la tâche de la signature ainsi que du rassemblement de tous les papiers nécessaires.
En bref, le seul travail que vous aurez à faire est de diffuser convenablement votre annonce et ce de manière assez large pour toucher le maximum de consommateurs et d’investisseurs.Vous pourrez par exemple diffuser votre annonce sur le plus grand portail immobilier espagnol http://www.anunciosinmobiliarios.es . Dans ce cas, il peut être judicieux de traduire votre annonce afin qu’elle reste facilement compréhensible de tous : si vous ne possédez pas de talents de polyglotte, cherchez dans vos contacts ou faites éventuellement appel à une agence immobilière…